La première promotion a fait sa rentrée en septembre dernier. "Les étudiants doivent s’inscrire dans l’un des trois départements : médecine, maïeutique et paramédical, odontologie, ou sciences pharmaceutiques", précise Philippe Pomar. Si les quatre sites existent toujours, un projet immobilier est en cours de réflexion pour réunir physiquement les 17 000 étudiants (environ 14 500 en médecine, maïeutique et paramédical, 2 000 en pharmacie et 1 000 en odontologie, précise toulemploi.fr) au sein d’un centre universitaire d’enseignement et de recherche en santé. Deux sites sont actuellement à l’étude, à Langlade, à proximité de l’Oncopole, et à Rangueil, à la place de l’actuelle faculté de médecine.
Bien que purement administrative pour l’instant, la pédagogie se veut surtout transversale. "Nous voulons que les étudiants se rencontrent et travaillent ensemble. À l’hôpital, un patient croise quatre ou cinq professionnels de santé dans une journée. C’est bien qu’ils aient l’habitude de travailler ensemble, qu’il y ait une transdisciplinarité", expliquait Philippe Pomar. La faculté s’est donc déjà organisée autour d’un socle commun, mais aussi autour de projets et de stages partagés.
[Avec ToulEmploi et Actu Toulouse]