Ce n’est pas le drapeau de la République de Kiribati et de ses 33 îles dans le Pacifique. Ce n’est pas non plus celui de Trinité-et-Tobago avec son unique athlète, et encore moins celui de l’ancienne colonie portugaise Sao Tomé-et-Principe, dans le Golfe de Guinée. Ce drapeau, aux couleurs affirmées, c’est celui de la "communauté méningite".  

Chaque année, la maladie toucherait 2,5 millions de personnes dans le monde, affirme l’OMS. En 2021, l’organisation publiait une feuille de route mondiale pour vaincre la méningite d’ici à 2023. C’est dans ce cadre que Sanofi a choisi d’œuvrer. 

Lors des Jeux paralympiques de Paris 2024, Sanofi poursuit sa campagne autour du "Drapeau méningite", aux côtés de trois para-athlètes touchés par la maladie, et qui ont participé à sa conception : la nageuse britannique Ellie Challis, son homologue français Théo Curin, et enfin l’athlète italien Davide Morana. Il est prévu que ces derniers arborent le "Drapeau méningite" pendant les Jeux. 
 

Source : Sanofi 


Un drapeau fort et symbolique. Le demi-cercle jaune représente le patient, plein d’espoir et au cœur du mouvement. Le triangle violet qui le couvre symbolise l’environnement protecteur autour du malade et notamment sa famille qui joue un rôle clé. Enfin, le fond bleu évoque la détermination à vaincre la maladie. Un design qui "traduit la positivité et la force du mouvement", indique Sanofi. 
 

Source : Sanofi 
 

Un risque de transmission élevé

Dans son communiqué, l’entreprise alerte également sur le risque de transmission d’une infection à méningocoques, dit "particulièrement élevé lors de grands rassemblements notamment sportifs, en raison de la proximité prolongée des personnes". Des actions de sensibilisation seront donc menées pendant toute la durée des épreuves avec par exemple des panneaux d’affichage.  

La station de métro Franklin D. Roosevelt (Champs Elysées) sera également rhabillée du 4 au 10 septembre pour l’occasion.
 

RETOUR HAUT DE PAGE